Une histoire d’amour passionnelle et passionnante : L’esclave d’Isaac Bashevis Singer

J’aime lire.

J’aime les livres qui me transportent le temps d’un instant dans un autre monde.

J’aime les livres qui me font rire et ceux qui me font pleurer. 

J’aime les livres qui me divertissent et ceux qui me font réfléchir.

Des livres jeunesse, des romans graphiques, des articles scientifiques, le journal, des romans, des Bds, des mangas parfois, bref tout ce qui me tombe sous la main.

Il y a les livres que je lis et que j’apprécie le temps de la lecture. Il y a les livres que je n’arrive pas à finir et ceux qui restent sur ma table de nuit attendant un moment plus propice. Et puis, il y a les livres qui tout d’un coup m’envoûtent, qui exercent sur moi une telle fascination que je sais avant même de les avoir terminés que je les relirai, que je chercherais à mieux comprendre ce qui m’échappe, à découvrir l’auteur, son œuvre, bref, j’analyserai ce livre.

Il y a quelques années déjà, la lecture en anglais de L’esclave d’Isaac Bashevis Singer avait eu cet effet sur moi. Dans le cadre de mes recherches sur le livre de Ruth, je savais que je voulais le relire et le travailler. Cet hiver, l’occasion s’est présentée de le relire, en français cette fois. Cette deuxième (ou était-ce la troisième?) lecture a été encore plus enrichissante que je ne le pressentais avec toujours ce sentiment d’être devant une œuvre qui me bouleverse, me travaille, m’émerveille. 

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