De la Pologne à Dinant, Ruth toujours !
On 23 mars 2023 by MarieLa sonnerie retentit et invite chacun à reprendre place tout en clôturant les échanges autour de ce poème d’Hugo et de ces peintures de Chagall et ChanaHelen. Sur la scène, Dr Lila Painting1 dépose son verre d’eau sur le pupitre et observe les spectateurs, un sourire bienveillant aux lèvres. Quand tout le monde s’est installé, elle demande le silence et reprend joyeusement sa conférence-voyage.
Ruth et Booz, Wanda et Jacob, un amour impossible ?
« Après cette pause désaltérante, je vous invite à reprendre notre voyage de ce soir. La troisième œuvre que je voudrais vous faire découvrir est un roman écrit en 1962 par un auteur polonais-américain, Isaac Bashevis Singer, qui écrivait en Yiddish. Contrairement aux œuvres précédentes, ce roman n’a pas comme sujet principal l’histoire de Ruth et Booz. Et pourtant… l’histoire d’amour passionnelle et interdite entre Jacob et Wanda est à maintes reprises relue par Jacob lui-même à la lumière du récit biblique de Ruth.
L’action du livre est campée dans la Pologne du 17ème siècle, un pays ravagé par de nombreuses guerres. Le soulèvement des Cosaques contre la noblesse polonaise sème la terreur. En 1648-1649, les massacres de Chmielnicki (du nom du chef des Cosaques) font énormément de victimes parmi la population juive, torturée et martyrisée, laissant désolation et misère dans le pays. Suite à ces massacres sanglants, la famille de Jacob est décimée. Seul survivant, il est vendu comme esclave à un paysan dans un village de montagne loin de sa ville natale. Quatre ans durant, loin de sa communauté, Jacob tente de demeurer fidèle à la foi de ses ancêtres et aux prescriptions juives. Seul à s’occuper du bétail dans la montagne, il médite sur sa situation et les desseins de Dieu.
Wanda, la fille de son propriétaire, s’éprend de Jacob. Jacob résiste et refuse. Sa foi et les lois du pays sont un frein à cette relation. Mais finalement la passion entre Jacob et Wanda est la plus forte. Dans la grange en haut de la montagne où il prend soin du bétail, Wanda apporte quotidiennement de la nourriture à Jacob. Un soir, surprise par un orage, elle reste avec lui et il lui prépare un lit. A son réveil au milieu de la nuit, Wanda est contre lui.
« Il s’éveilla en frissonnant, ouvrit les yeux et aperçut Wanda couchée tout contre lui sur la paille. Dans la grange l’air était frais, mais il ressentait la chaleur brûlante de son corps. Elle s’agrippait à lui, se pressait contre lui, effleurait ses joues de ses lèvres. Bien qu’il en eût conscience, il la laissait faire, sans rien dire, surpris non seulement de ce qui arrivait, mais aussi de l’impétuosité de son propre désir. Quand il essaya de l’écarter de lui, elle se cramponna avec une force surnaturelle. Il voulut lui parler, mais elle couvrit ses lèvres avec sa bouche. Il se rappela l’histoire de Ruth et de Booz et comprit que son désir était plus fort que lui. ‘Je vais être déchu du monde des Justes’, se dit-il. Il entendait Wanda qui le suppliait d’une voix rauque, haletant comme un animal. »
Isaac Bashevis Singer, L’esclave, p.61.
Alors qu’il succombe à la tentation à laquelle il résistait depuis de longs mois, il se rappelle l’histoire de Ruth et de Booz et en particulier de cet épisode au milieu de la nuit où sur l’aire, Booz découvre une femme à ses pieds. Jacob semble imaginer Booz épris de Ruth en cette nuit mystérieuse, succombant à l’instant présent. Après avoir résisté de longues années et s’être tenu autant que possible aux lois juives, Jacob sent qu’il a perdu la bataille et qu’il est à jamais déchu du monde des Justes. C’est le début d’une histoire d’amour passionnée et interdite, avec des implications qui dépassent ce que les personnages prévoient.
Quelques pages plus loin, il réfléchit aux paroles et à l’amour de Wanda. Elle a un plan et souhaite s’enfuir avec lui loin du village, devenir juive et rejoindre la communauté de Jacob.
« Comment aurait-il pu savoir qu’il existât une passion et un amour tels que ceux de Wanda ? De nouveau il entendait la voix de Wanda, les mots qu’elle lui avait chuchotés, ses soupirs, sa respiration haletante […] Elle voulait s’enfuir avec lui à travers les montagnes, au milieu de la nuit. Elle lui parlait exactement comme Ruth avait parlé : ‘Où tu vas, j’irai. Ton peuple sera mon peuple. Ton Dieu sera mon Dieu.’ De son corps émanait la chaleur du soleil, les brises estivales, les senteurs des bois, des champs, des fleurs, des feuilles, tout comme le lait répand l’odeur de l’herbe dont on a nourri le bétail. Pendant sa prière il bailla. »
Isaac Bashevis Singer, L’esclave, p.65.
Une fois encore, l’histoire de Ruth n’est pas loin des pensées de Jacob. Tout comme Ruth, Wanda est prête à tout quitter. Le peuple et le Dieu de Jacob seront les siens. Si dans L’esclave, Wanda s’adresse à Jacob et est prête à le suivre par amour pour lui, dans le texte biblique, vous vous souvenez que Ruth s’adresse à Noémi. Son choix n’est pas guidé par un amour pour un homme, mais par une relation d’attachement avec sa belle-mère. Dans la pensée juive, Ruth représente un modèle de conversion que les rabbins ont longuement commenté. Jacob compare à maintes reprises Wanda à Ruth. Il est conscient que les raisons de Wanda diffèrent de celles de Ruth et ne sont donc pas reconnues comme valables par les rabbins. Mais en même temps, il est frappé par la détermination et l’engagement de Wanda. Il sait qu’il a manqué à ses devoirs et s’interroge continuellement sur ses obligations envers Dieu et envers elle.
Rachetés par les siens peu après, Jacob retourne à sa ville d’origine où il s’adapte difficilement. Croyant Wanda enceinte, Jacob revient la chercher et ils s’enfuient ensemble pour vivre cet amour interdit dans un village juif retiré.
La nuit est tombée et il entre furtivement dans le grenier où dort Wanda :
« Il entendit le souffle d’une respiration. Wanda était ici. Les mains prêtes à étouffer ses cris, Jacob s’approcha. Il l’apercevait maintenant dans la pénombre, couchée sur la paille, les seins offerts, à demi nu. L’histoire de Ruth et Booz semblait flotter dans son esprit. Il était éveillé et pourtant il rêvait. »
Isaac Bashevis Singer, L’esclave, p.121.
Pourquoi l’histoire de Ruth et Booz lui revient-elle à l’esprit à ce moment particulier ? La pénombre de la nuit, la nudité partielle de Wanda et le côté bucolique souligné par la présence de la paille rappellent un motif qui revient dans le texte biblique mais parcourt également les œuvres de Hugo et Chagall. Est-ce que ces parallèles le justifie dans ses choix et décisions, dans ce tournant qu’il prend en venant chercher Wanda et dont il sait qu’il y aura des conséquences ?
Etant donné que le Yiddish hésitant de Wanda pourrait les trahir, elle se fait passer pour muette au sein de la communauté. Le soir, les volets tirés, Jacob l’instruit dans la foi juive. Wanda, alias Sarah-la-muette, se convertit, respecte les instructions juives, cherche à comprendre, observe les villageoises, interroge Jacob et se tait. Elle se tait jusqu’à l’accouchement difficile de leur fils… Leur amour illicite est alors découvert et la vie de Jacob chavire à nouveau…
Plus de vingt ans ont passé quand Jacob revient au village où Sarah est morte. Il cherche en vain sa tombe, perdue dans ce cimetière qui s’est étendu et a fini par inclure la tombe même de Sarah, pourtant d’abord exclue du cimetière juif. Alors que Jacob arrive lui aussi à la fin de sa vie, il pense à son existence.
« Jacob, au cours de son voyage à travers les provinces turques, depuis la Terre Sainte jusqu’en Pologne, avait fini par apprendre des choses qu’il n’avait pas comprises auparavant. Chaque génération avait ses tribus perdues. Il en est toujours qui aspirent à retourner en Egypte. Il y a toujours des lâches, tremblants d’épouvante, des Samsons, des Abimélechs, des Jéthros, des Ruths. Les feuilles tombent des arbres, mais les branches demeurent ; le tronc garde ses racines. Dans chaque pays, il y a des enfants perdus d’Israël. Au sein de chaque communauté, il y a ceux qui restent à part. Les hommes s’épanouissent, se fanent comme les plantes. C’est au Ciel que s’écrit l’histoire, et où seulement on connaît la vérité. Finalement, tout homme est simplement responsable de ses propres actes. »
Isaac Bashevis Singer, L’esclave, pp.248-249.
A la fin de sa vie, Jacob se rend compte qu’être esclave peut prendre des dimensions diverses. De tout temps, certains hommes préféreront retourner en Egypte, en esclavage. Certains seront dispersés et assimilés, tels les tribus perdues. Dans chaque pays parcouru, dans chaque communauté, il retrouve des histoires qui se répètent. Les personnages bibliques reflètent peut-être bien des attitudes, des comportements, des schémas que l’on retrouve de génération en génération, au grès des expériences diverses. L’homme ne maitrise pas l’Histoire avec un grand H. Des parallèles peuvent exister entre l’histoire de Wanda et Jacob et cette de Ruth et Booz, comme avec d’autres récits, mais en fin de compte, chaque personne est responsable de ses propres choix, de ses propres actes. Sa vie lui appartient, et même le choix d’être esclave ou non d’une situation particulière.
Avant de clôturer ce voyage polonais, je voudrais attirer votre attention sur un dernier extrait encore : dans les dernières lignes du roman apparaît un nouveau lien, peut-être plus indirect avec le personnage de Ruth mais qui éclaire le récit d’une nouvelle lumière. Par un miracle dont le village parlera encore longtemps, au moment d’enterrer Jacob, la sépulture de Wanda-Sarah est retrouvée. Les deux amoureux se retrouvent ainsi dans leur demeure finale, reconnus par les villageois,
« et à côté du nom de Sarah on lisait cette ligne tirée des Proverbes : ‘Qui peut trouver une femme vertueuse ?’ »
Isaac Bashevis Singer, L’esclave, p.266.
Eshet chayil, une femme vertueuse, une femme puissante, n’est-ce pas également ainsi que Booz décrit Ruth ? Par ses choix, par sa vie, par leur vie, Wanda, alias Sarah-la-muette, est reconnue dans sa mort comme une femme de valeur, à l’instar de la femme des Proverbes et de Ruth elle-même. Des femmes qui par leur humble vie peuvent faire changer le cours de l’histoire et la vision que les autres ont du monde qui les entourent. Wanda n’est pas une femme passive, c’est un personnage qui, à l’instar de la Ruth biblique, prend des initiatives qui forcent les autres à agir différemment.
Si ce roman passionnant et puissant n’a pas pour sujet principal le livre de Ruth, il y puise pourtant une symbolique et des images qu’il utilise, qu’il retravaille pour s’interroger sur nos vies, nos choix, les conséquences de nos actes. Tout comme le livre de Ruth, L’esclave vient chercher le lecteur dans ses aprioris, le remet en question et l’interroge.
Après ce voyage dans la Pologne du 17ème siècle, je vous invite à une dernière étape, cette fois-ci visuelle, de notre parcours de ce soir.
Le vitrail marial de Dinant, des femmes mises à l’honneur
« Avez-vous déjà visité la ville belge de Dinant ? Ville touristique par excellence, appréciée pour sa citadelle, ses maisons colorées le long de la Meuse et sa collégiale au clocher bulbeux caractéristique, Dinant est une ville au riche passé. Et si vous avez déjà pris le téléphérique pour monter en haut de la citadelle ou flâné sur ses quais, avez-vous déjà poussé la porte de la collégiale ?
Savez-vous que la collégiale Notre-Dame de Dinant possède sur son transept sud un des plus grand vitraux de Belgique, voire d’Europe2 ? Si vous y êtes allés, avez-vous remarqué les femmes qui ornent ce vitrail et qui sont mises en avant ? Un des ces quadrilobes représente Ruth. Que vient donc faire Ruth dans ce vitrail et que peut-on « lire » sur ce chef-d’oeuvre réputé ? Prêts pour une dernière petite pause artistique ? Prenez place (en imagination du moins) dans cette collégiale majestueuse, bâtie à flanc de roc. Asseyez-vous et regardez la lumière traverser ce vitrail pour en faire vibrer de magnifiques couleurs, ce lieu de rencontre où la vie de l’homme est transcendé par la lumière divine, comme les artistes verriers l’imaginaient3. Vous voici devant un vitrail de 19 m 75 de hauteur pour 9 m 75 de largeur, foisonnant de détails pour vous raconter une histoire, avec une signification théologique et spirituelle particulière. Prêts pour un rapide survol de ce vitrail marial et en particulier de cette partie où Ruth y est représentée ?
Le vitrail de la Collégiale de Dinant est l’oeuvre néogothique de Gust Ladon (1863-1942) et a été posé en 1902. Lors de la deuxième guerre mondiale, le vitrail a subi quelques dommages et a été démonté, restauré et remis en place en 1947 par Willy Ladon, fils de Gust et également maitre-verrier. Comme l’explique Soeur Marie-David, le vitrail combine une lecture typologique – où l’Ancien Testament est compris à la lumière du Nouveau – avec une lecture plus artistique où la verrière est « comme une œuvre poétique finement ciselée où chaque vers est un éclat de lumière, immortalisé dans les soixante-six parties qui la composent. »4 « Sa lecture s’effectue de la gauche vers la droite, de manière ascendante, afin que l’esprit puisse s’élever de la réalité matérielle jusqu’à la lumière divine. » 5. Les sources d’inspiration du vitrail sont la Bible d’une part et La Légende Dorée de Jacques de Voragine (+/-1260) d’autre part.
Le vitrail est marial, ce qui veut dire que l’artiste a souhaité exposer la vie de Marie, la mère de Jésus. Il insère ainsi la vie de Marie dans l’histoire du salut. Dans la partie inférieure du vitrail, sous les rosaces, il y a une alternance de rangées de médaillons et de quadrilobes (plus grands) amenant progressivement à lire la vie de Marie et de Jésus, comme vous pouvez le voir sur cette petite liste :
- 1. (rangée en partant du bas). Médaillons : les six jours de la création
- 2. Quadrilobes : mises en scène de femmes bibliques de l’Ancien Testament
- 3. Médaillons : patriarches
- 4. Quadrilobes : vie de la vierge Marie
- 5. Médaillons : prophètes
- 6. Quadrilobes : débuts de la vie de Jésus
- 7. Médaillons : les apôtres
- 8. Quadrilobes : dernières scènes de la vie de Jésus et de Marie
- 9. Médaillons : les apôtres (suite)
Surplombant ces rangées, dans les lancettes du milieu, se trouvent le couronnement de Notre-Dame et une représentation du Christ. Tout au-dessus de ces deux représentations se trouve Dieu le Père dans l’oculus central.
Ce qui suscite l’attention dans ce vitrail c’est la part donné aux femmes. Dans une perspective mariale de l’histoire du salut, la vie de Marie (comme raconté dans La Légende Dorée) est mise en avant, mais également les récits de femmes bibliques dans la deuxième rangée en partant du bas. Alors que les patriarches, les prophètes et les apôtres ont tous une place dans cette économie du salut, c’est interpellant de voir qu’ils sont comme relégués en arrière-plan de l’histoire du salut. Leur importance n’est pas niée, loin de là, mais les femmes de l’Ancien Testament sont directement visibles dans les quadrilobes et sont présentées comme des précurseurs de Marie. Eve, Sara, Rebecca, Ruth, Judith et Esther sont chacune présentes dans un quadrilobe qui représente un évènement particulier de leur vie et leur nom est inscrit.
Notons néanmoins que dans les quadrilobes, contrairement aux médaillons, plusieurs personnages interagissent, montrant une histoire qui se construit au fur et à mesure des rencontres et des évènements. Les femmes ne sont donc que rarement représentées seules ; elles sont en compagnie d’autres personnages masculins. Mais leur nom figure sur le quadrilobe, soulignant ainsi leur importance dans cette histoire du salut et dans leur rôle de précurseur de Marie. Dans les médaillons au contraire, nous sommes la plupart du temps face à un personnage masculin particulier sans référence particulière à un évènement précis.
Le quatrième quadrilobe en partant de la gauche représente Ruth. Dans l’image, Ruth est agenouillée, pieds nu, une gerbe de céréales en main. Elle regarde Booz, richement vêtu qui semble lui montrer l’entrée d’une maison. Derrière elle et l’entourant, créant presqu’un lien entre Ruth et Booz, se trouve un arbre fruitier. Des fruits représentant symboliquement la future union entre les deux personnages ? Comme le rappelle Soeur Marie-David, Ruth « est un exemple d’étrangère intégrée dans le peuple élu. Sa piété filiale lui a valu les louanges de son entourage. En tant que mère de Jésus, Marie, recevra le titre de « Vierge digne de louange ». »6. La bonté (hesed) dont fait preuve Ruth est en quelque sorte mis en avant ici et précurseur de ce que la théologie catholique verra en Marie.
Nous arrivons déjà à la fin de cette soirée, de ce voyage littéraire et pictural qui nous a emmené d’un petit village de Judée à la France et la Belgique, en passant par la Pologne. Autant de détours pour nous faire découvrir des facettes variées de cette histoire qui a inspiré de nombreux artistes.
Merci pour votre attention. »
Encore…
Sous les applaudissements retentissants, Dr Lila Painting remercie le public chaleureux de ce soir. Avec un grand éclat de rire, elle reprend la parole :
« Bon bon, vous voulez un petit bonus ? Allez, pour les plus musicaux d’entre vous, voici un bonus musical à découvrir… Vous remarquerez que la musique n’a pas été présente dans ce voyage et pourtant certains compositeurs ont fait une place (minime mais présente quand même) à l’histoire de Ruth, notamment dans des oratorios (œuvre lyrique dramatique dont le sujet est souvent religieux).
Je vous invite à découvrir l’oratorio de César Franck, dont nous célébrions justement le bicentenaire de naissance en 2022. En 1846, il compose son oratorio sur Ruth, qui n’est pas un grand succès. Il suit d’assez prêt le texte biblique et les choeurs mettent en avant la dimension communautaire du récit. Ce n’est pas considéré comme une œuvre phare de Franck et les vers écrits par Alexandre Guillemin n’ont pas l’envergue d’Hugo,7 mais si cela vous intéresse, vous pouvez néanmoins écouter cette œuvre grâce à l’enregistrement sous la direction de Martin Barral.
Et sur ce, je vous laisse vraiment, j’ai de loin dépassé le temps qui m’était octroyé… Encore merci à toutes et à tous pour votre attention ! »
References
- Merci à Odile D pour cette chouette suggestion de nom!
- Soeur Marie-David, osb, Le vitrail marial de la collégiale de Dinant, 2012, p.3.
- Soeur Marie-David, osb, Le vitrail marial de la collégiale de Dinant, 2012, p.5.
- Soeur Marie-David, osb, Le vitrail marial de la collégiale de Dinant, 2012, p.7.
- Soeur Marie-David, osb, Le vitrail marial de la collégiale de Dinant, 2012, pp.7-8.
- Soeur Marie-David, osb, Le vitrail marial de la collégiale de Dinant, 2012, p.19.
- https://www.resmusica.com/2014/03/31/redecouverte-de-ruth-oratorio-de-cesar-franck/ Vous trouverez également sur ce lien, la référence d’un enregistrement de 2013 de cette oeuvre par Martin Barral – il est également possible de l’écouter sur spotify.
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